Dans le cadre de stage obligatoire de troisième, Amazon a accueilli pendant une semaine 25 élèves du collège Jean Jaurès, établissement d’éducation prioritaire à Clichy. Découverte des métiers du numérique, sensibilisation à l’intelligence artificielle, apprentissage du code informatique, démonstrations avec Alexa pour piloter des robots… « J’ai été bluffée par l’accueil, l’encadrement et les moyens humains et financiers mis en place pour accueillir nos enfants. Ils ont vraiment été pris au sérieux », résume la maman de Nykou.
Pourtant, comme elle le précise, les stages de troisième, elle connait bien : « Nykou est le petit dernier de mes quatre enfants. J’ai donc une certaine expérience des stages de troisième et jamais mes enfants n’ont été reçus avec un tel professionnalisme. Aujourd’hui encore, je reste très impressionnée par le respect d’Amazon pour ces petits jeunes de 14 ans qui vivent dans une banlieue parisienne pas toujours simple ».
Découvertes, rencontres et challenges
Articulé autour de la découverte du monde de l’entreprise et de ses différents métiers, le stage a effectivement été intense. Les élèves ont assisté à des présentations et à des ateliers réalisés spécialement pour eux par des collaborateurs d’Amazon portés volontaires. Ils ont appris à coder en Scratch. Ils ont piloté des robots avec Alexa. Ils ont découvert les fondamentaux de l’intelligence artificielle mais aussi le projet de livraison par drones avec Prime Air. Ils ont également travaillé sur la posture à adopter en entreprise et le développement de leur personnalité à travers l’identification de leurs points forts.
Après les bureaux de Clichy et ceux de la Défense, ils ont également pu visiter virtuellement un centre de distribution pour comprendre le parcours des colis. Sans oublier un défi à relever ! Organisés par groupe de cinq, les élèves ont été invités à imaginer à quoi pourrait ressembler la plus grande innovation d’Amazon en 2040. Et ce, dans l’esprit Amazon, c’est-à-dire en partant des besoins du client et sans se mettre de barrières.
« Ils devaient simplement laisser l’imagination faire son travail », explique la maman de Nykou. « C’était une expérience très enrichissante et motivante pour des jeunes de 14 ans. D’autant qu’ils ont été accompagnés tout au long de la semaine par un coach dédié pour aider leur équipe dans les différentes phases du projet. Au passage, ils ont aussi appris à collaborer et à communiquer leurs idées avec des slides devant un public, pour finalement présenter leur projet devant un jury qui a attribué des prix aux idées les plus innovantes ». Et la maman de Nykou n’est pas peu fière : son petit dernier a remporté le premier prix avec une idée d’application permettant aux clients de tester un produit en réalité augmentée avant de le commander.
Un projet professionnel clarifié
Ravi, Nykou reconnait qu’il ressort de ce stage avec une autre image du monde de l’entreprise et surtout une idée bien plus précise de ce qu’il veut faire plus tard : « Je veux être développeur et créer de nouvelles machines automatiques. J’ai toujours été intéressé par les langages comme Python et avec ce stage, j’en ai découvert de nouveaux. C’est définitivement ce qui m’intéresse le plus dans l’informatique ». « Son stage lui a permis de clarifier son projet professionnel », ajoute sa maman. « Il savait déjà avant qu’il voulait travailler dans l’informatique, mais apparemment sa rencontre avec un développeur Alexa a été déterminante ».
Également ravie, la maman de Nykou se félicite qu’Amazon n’ait pas versé dans la facilité : « Comme partout, nous assistons à des stratégies de fuite des établissements classés éducation prioritaire vers le privé. En accueillant des élèves du collège Jean Jaurès, le programme Amazon Future Engineer donne une chance à nos enfants de vivre une expérience très riche avec une démarche à la fois sérieuse et pédagogique. J’en veux pour preuve l’incroyable livret d’une trentaine de pages prévu pour chaque enfant qui l’a accompagné pendant toute la semaine. Conçu pour les faire avancer, il est d’une grande richesse », conclut la maman de Nykou.