Christophe a troqué le football pour une entreprise qui joue collectif

Avant d'arriver chez Amazon en 2000, Christophe n'avait qu'une passion : marquer des buts ! « J'étais plutôt bon au football », se souvient-il. « Le travail n'était qu'un moyen de subsistance qui me permettait de vivre ma passion. J'ai enchaîné les CDD, passant d'un secteur d'activité à un autre sans véritablement y accorder d'importance jusqu'à la trentaine ».

Désireux de fonder une famille, Christophe aspirait à une carrière professionnelle plus stable : « À trente-cinq ans, je commençais à être vieux pour le foot : il était temps de penser à l'avenir. Amazon ouvrait un centre à 1 km de chez moi, c'était pratique, alors j'ai postulé pour un CDI ».

Pourtant, choisir Amazon quand on est en quête de stabilité était à l’époque un vrai pari : au début des années 2000, le commerce électronique n'en était qu'à ses balbutiements. Amazon ne vendait que des livres, des CD et des DVD, et personne dans l'entourage de Christophe ne croyait à Amazon et encore moins à la vente en ligne : « Le paiement en ligne suscitait beaucoup de méfiance et tous mes amis étaient convaincus que je serais très vite de nouveau au chômage », explique-t-il. « Et quand j’y repense, on a du mal à s’imaginer que quand je suis arrivé chez Amazon, nous n'étions qu'une poignée, avec pour seuls outils, des stylos et du papier ». Installé derrière sa table de camping, Christophe réceptionnait à peine une dizaine de camions par jour. « Aujourd'hui, quand je vois la taille des entrepôts, la technologie utilisée et le nombre de commandes gérées, c'est presque surréaliste ! ».

Parmi ses souvenirs marquants, Christophe évoque aussi l'arrivée spectaculaire du fondateur d'Amazon : « Un jour, je me gare sur le parking et je vois des vans noirs, des gardes du corps partout. C'était Jeff Bezos, en personne, venu inaugurer le premier site français. Lui serrer la main, c'était vraiment quelque chose même si à l’époque je n’en avais pas vraiment conscience ! ».

Vingt-cinq ans plus tard, Christophe travaille au service qualité, réalisant des audits dans tous les services de l'entrepôt. Ce poste, il l’a vraiment choisi. « En 2012, j’ai eu un cancer. Quand on traverse une épreuve comme celle-là, on revoit ses priorités. Amazon m'a offert des opportunités de management, mais j'ai choisi de rester au service qualité, où je peux concilier mes tâches variées avec un équilibre de vie plus sain ». À son retour après une longue absence, l’accueil chaleureux de ses collègues et managers l’a particulièrement touché : « Retrouver mon poste et sentir cette solidarité, c’est le genre d’attention qui montre le vrai visage d'une entreprise et qui explique pourquoi on y reste pendant des années ».

Amazon doit également la fidélité de Christophe à l’atmosphère inclusive qu’il apprécie particulièrement : « Dans une certaine mesure, Amazon vous reconnecte à l’essentiel, apportant la preuve qu’on peut avoir des origines très différentes et pourtant très bien travailler ensemble. Et cette cohabitation dans la bonne humeur a quelque chose de rassurant quand on voit les tensions de notre monde. Pour moi, c’est vraiment un point essentiel qui participe au fait que je me sens bien chez Amazon ».

Autre facteur qui compte pour Christophe : Amazon est une entreprise en perpétuel mouvement. « On est passés de la vente exclusive de livres à une offre qui couvre aujourd’hui quasiment toutes les catégories de produits, de la table de camping à la robotisation, du papier-crayon au scan numérique... Je vois à quel point mon entreprise prend au sérieux son engagement écologique à travers de nombreuses initiatives, comme la livraison sans emballage superflu ou la réduction de notre empreinte carbone. Cette capacité à évoluer et à innover en permanence explique pourquoi, après 25 ans, je suis toujours là. Chez Amazon, on ne s’ennuie jamais ! ».